A Virginie
Tu dis le
jour tu dis l’espoir
Tu dis ta
grande joie de vivre
Et la magie
cachée des soirs
Lorsque la
lecture t’enivre
Tu dis
l’aurore qui se lève
Sur la mer
et sur ses bateaux
Et ces
instants précieux de trêve
Où tu longes
le bord de l’eau
Tu dis tes
rêves et tes songes
Tes amours
toujours exaltés
Et dans ton
cœur tu les prolonges
Pour les
rendre plus enchantés
Enfant
encore et déjà femme
Joyaux
brillant de mille feux
Où est le
secret de ton âme
Que tu
dissimules à nos yeux
Je sais tes
angoisses ton courage
Ton combat
incessant et dur
Cette
maladie et ta rage
Qui pointe
dans ton regard pur
Diane –
Barjac-1989
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