Fin juin, Florian arriva. Il était mon salut, ma bouée de secours. Avec
lui, tout devenait différent. Je n’étais plus seule à lutter. Il me secondait
en tout, s’occupait de Virginie, m’aidait aux courses et au ménage.
Ma fatigue s’estompait, le monde qui m’entourait semblait moins
agressif. Soudain, je me sentais en vacances. Nous allions tous les trois à la
plage. Les escaliers qui y accédaient ne me permettaient pas de m’y rendre
seule avec Virginie. Nous nous promenions sur le port et visitions l’île de
Bendor toute proche.
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